En période d’été, la photosensibilisation apparaît chez les animaux. Elle est une réaction cutanée issue de l’interaction de l’ultra violet. Ce sont donc les animaux qui exposent leur corps au soleil qui est le plus affecté par la photosensibilisation.
Le plus souvent, la photosensibilisation est accompagnée d’ autres réactions comme des démangeaisons cutanées ainsi que de lésions plus ou moins importantes.
Les symptômes de photosensibilisation sont faciles à reconnaître et directement visibles. Il se présente sous forme de plaies, des ulcérations ainsi que des irritations. En présence de ce symptôme, le cheval se gratte. Pourtant, il est bien possible d’utiliser un traitement adéquat pour la photosensibilisation.
Quelles parties du corps sont les plus affectées par les photosensibilisations ?
Les zones les plus touchées par la photosensibilisation sont en général la tête et les balzanes. Ces des notamment des zones dépigmentées. C’est pourquoi, il s’expose facilement aux risques. Toutefois, pour les chevaux, d’ autres parties de leur corps peuvent aussi être touchées. On distingue les cremellos encore l’albinos.
Ces zones sont aussi affectées par le symptôme de photosensibilisation dû à leur fragilité. Et à part ces zones fragiles dépigmentées, on peut rarement trouver la photosensibilisation qui se présente au bout du nez. C’est en général la zone de commencement avant de s’étendre dans tout le corps.
La photosensibilisation apparaît en général en printemps et en période d’été dû à l’ensoleillé et qui ne cesse d’augmenter à cette époque.
Les deux types de photosensibilisation
On distingue deux types de photosensibilisation à savoir la photosensibilisation par le contact et la photosensibilisation par ingestion.
La photosensibilisation par le contact
Le symptôme est apparu chez chaque animal sensible par contact direct. La photosensibilisation de contact se présente sous deux formes :
La photo allergie, il est un peu rare car ce n’est n’est pas une véritable photosensibilisation. La photo allergie n’affecte que certains individus qui sont sensibles. Il est issu d’une substance nommée photo allergène. C’est l’action de l’UV qui rend la photo allergène toxique et affecte l’épiderme de la peau.
La toxicité est l’une des photosensibilisations les plus fréquentes. Il résulte d’un contact avec une plante photo toxique et s’étend sur toute la peau si la lésion commence au bout du nez du cheval.
La photosensibilisation par ingestion
C’est un autre type de photosensibilisation, il ne résulte pas d’un contact direct avec une plante. Il est d’ailleurs issu de la consommation d’une grande quantité de substance photo sensibilisante. Le symptôme ne se présente pas directement, il se voit au bout de quelques jours.
Il se présente notamment par dermatologiques douloureuses et d’une rougeur congestive ainsi que des autres réactions cutanées.
Que faire en présence de la photosensibilisation
La première chose à faire pour éviter de lutter contre la photosensibilisation est de ne pas laisser les animaux être en contact avec UV. Le cheval doit donc rester dans l’ombre avec une couverture. Le fait de s’exposer au soleil est à éviter.
On peut aussi utiliser une crème apaisante adaptée aux chevaux lésions ou rougeurs sur sa peau
Les croûtes et les ulcérations nécessitent un nettoyage de la zone de peau affecté par le symptôme mais aussi de la cicatrisation
Enfin, pour les lésions étendues, faire appel à un vétérinaire s’avère nécessaire.